Présentée indûment par le président français, Emmanuel Macron, comme un cas de liberté d’expression, l’affaire Sansal est, pour dire vrai, un délit d’atteinte à l’intégrité territoriale du pays. Ce qui est passible d’une peine prévue par la loi algérienne.Pour un chef d’État, Emmanuel Macron aurait pu faire preuve de retenue conformément aux règles diplomatiques d’usage. […]