Salah Badis, nouvelliste, affirme que «chez nous, un traducteur ne peut pas vivre de son métier», dans cette interview. Il a publié, l’an dernier (2024), chez Barzakh «Des choses qui arrivent», un recueil de nouvelles qui presque toutes se passent entre Alger et Réghaïa. Le livre, chroniques des années 1990, est paru en arabe à Beyrouth, …