Les appels se sont multipliés au lendemain de la chute de l’ex-président Bachar Al Assad, afin de préserver les preuves des crimes de l’ex-régime. Etablie en 2011, la commission d’enquête des Nations unies sur la Syrie a demandé, dimanche, à Hayat Tahrir Al Sham (HTC) et aux autres groupes armés de «faire très attention à ne pas perturber les preuves de violations et de crimes» en s’emparant des prisons, a rapporté le journal français Le Monde.