«C’est la première fois que la civilisation humaine fait face à un risque d’effondrement. Je pense que nous pourrions un jour disparaître à cause des abeilles.» Cette perspective du professeur Paul R. Ehrlich, biologiste à l’Université Stanford, résonne particulièrement dans les monts de Béni Chougrane, à Mascara, où des apiculteurs assistent impuissants à la disparition de leurs ruches.