L’accès à l’eau, dans un territoire en proie à la sécheresse, n’est pas toujours une sinécure. Fort heureusement, en plus des barrages, qui «mettent à gauche» le débit pluvial (si tant est qu’il pleuve, ce qui n’est pas toujours le cas) pour pallier au manque d’eau, rien de mieux que de mettre à profit les 1200 km de côtes algériennes.