Membre de la sinistre brigade Givati, de l’armée israélienne, le sergent Mori Keisar a été rattrapé par la fondation Hind Rajab, qui traque «les criminels de guerre» qui ont participé au génocide à Ghaza. Samedi dernier, alors qu’il se trouvait en vacances en Espagne, la Fondation, appuyée par la communauté palestinienne de Catalogne, a engagé à son encontre une plainte auprès du tribunal pénal de Barcelone pour «crimes de génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis lors de l’opération militaire à Ghaza».