La libération d’otages français détenus à l’étranger par des groupes terroristes repose souvent sur des négociations discrètes, où la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) joue un rôle clé. Si officiellement, la France affirme ne jamais céder au paiement de rançons, plusieurs affaires ont laissé entrevoir une réalité différente, où des transactions financières semblent avoir été au centre des négociations avec des groupes terroristes.