Le gouvernement turc accentue la pression sur les mouvements et sympathisants prokurdes accusés de «terrorisme» en même temps que se poursuit le dialogue, engagé à son initiative, avec le PKK en vue d'une trêve. Près de trois cents «membres présumés d'organisations terroristes» ont été arrêtés au cours des cinq derniers jours, a annoncé le ministre de l'Intérieur, Ali Yerlikaya, visant nommément le Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK) dans son communiqué, relayé hier par l’AFP.