Les génocidaires de Tel-Aviv et leurs complices ne veulent pas de la paix en Palestine. C’est aujourd’hui une certitude bien établie. Trois semaines après le sixième échange de prisonniers entre Israël et le Hamas, les suprémacistes racistes sionistes, non satisfaits d’avoir voulu affamer les deux millions de Ghazouis en empêchant l’entrée de toute aide humanitaire, contrairement à ce que prévoit l’accord de cessez-le-feu signé le 15 janvier dernier, ont décidé de couper l’unique ligne d’électricité qui alimente la bande palestinienne et qui dessert, entre autres, la seule usine de dessalement de l’eau de mer.