Cette conférence a été animée par un groupe de parlementaires et d'enseignants universitaires, outre des journalistes et des représentants des acteurs de la société civile.
Les participants ont unanimement affirmé que les manifestations du 11 décembre 1960 constituaient un "fort soutien" à la glorieuse Révolution de libération, en démontrant à la France coloniale et au monde entier "l'adhésion du peuple algérien à sa glorieuse Révolution et aux revendications d'indépendance et de recouvrement de la souveraineté nationale".
Les intervenants ont en outre souligné la nécessité de "maintenir la cohésion du peuple avec les institutions de son pays afin de déjouer tous les complots et conspirations ourdies contre l'Algérie" de la part, notamment "des parties gênées par les positions de l'Algérie vis-à-vis de la décolonisation et du soutien au droit des peuples à l'autodétermination, conformément aux chartes des Nations Unies".
Après avoir salué le "rôle pionnier" de l'Algérie sur les scènes régionale, continentale et internationale ainsi que les "indicateurs positifs" de l'économie nationale, les intervenants ont mis l'accent sur l'importance de renforcer la conscience nationale face aux défis actuels, tant sur le plan interne qu'externe.