"Le Gouvernement algérien a pris connaissance, avec beaucoup d’étonnement, des propos du Président français concernant l'Algérie, qui déshonorent, avant tout, celui qui a cru devoir les tenir de manière aussi désinvolte et légère. Ces propos ne peuvent être que réprouvés, rejetés et condamnés pour ce qu’ils sont, une immixtion éhontée et inacceptable dans une affaire interne algérienne", précise la même source.
"Ce que le Président français présente indûment et faussement comme une affaire de liberté d’expression n’en est pas une au regard de la loi d’un Etat souverain et indépendant.
Elle relève essentiellement d’une mise en cause de l’intégrité territoriale du pays, un délit punissable par la loi algérienne", ajoute le communiqué.