Cette affirmation est intervenue lors d'une séance plénière consacrée à la présentation du PLF 2025, présidée par Brahim Boughali, président de l'Assemblée, en présence de Basma Azouar, ministre des Relations avec le Parlement ainsi que de membres du gouvernement.
Faid a mis en lumière la conjoncture particulière dans laquelle ce projet de loi a été élaboré, soulignant que l'année 2024 était une année charnière en raison de l'échéance présidentielle, qui marque le parachèvement des programmes du premier mandat présidentiel et le début du programme du second mandat du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.
Il a précisé que ce projet vient clôturer une phase caractérisée par des défis budgétaires majeurs, notamment en lien avec la gestion de la pandémie de Covid-19 et la concrétisation des engagements importants pris dans le cadre du programme de rattrapage de Monsieur le Président de la République, relevant à ce propos l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens à travers l'exonération de l'impôt sur le revenu global (IRG), la révision du salaire national minimum garanti (SNMG), l'augmentation du point indiciaire, le dégel des promotions dans la fonction publique, l'instauration de l'allocation chômage, la révision des pensions de retraite, ainsi que le dégel des projets d'investissement à l'arrêt depuis 2014.