Le Conseil a indiqué, dans un communiqué repris par l'agence palestinienne de presse, Wafa, que cette escalade criminelle reflète l'insistance de l'occupation à cibler des civils sans défense et des lieux de déplacement, qui sont protégés par les traités internationaux, piétinant toutes les lois internationales et les traités des Nations Unies qui interdisent de cibler des civils et des centres humanitaires.

Pour lui, "ces atrocités constituent un crime de guerre, ajouté à une longue série d'agressions qui s'inscrivent dans le cadre de la politique de nettoyage ethnique et de génocide menée par l'entité sioniste contre notre peuple", soulignant que le ciblage des refuges n'était qu'une nouvelle preuve de la cruauté de l'occupation et du meurtre délibéré de civils en violation des principes les plus élémentaires de l'humanité et du droit international.

Outre les martyrs et les blessés palestiniens, le génocide sioniste qui se poursuit dans la bande de Ghaza depuis plus d'un an, a causé des destructions massives de bâtiments résidentiels et d'infrastructures et une famine meurtrière.