ANI - « La Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) a tenu une réunion avec des agences et organisations internationales et nationales à Chamaa dans le sud du Liban « pour discuter de la sécurité et du soutien aux communautés touchées par le conflit dans le sud du pays, dans le cadre de son soutien aux communautés locales, étant donné que les besoins sont grands et nécessitent une approche globale ». C’est ce qu’a annoncé La FINUL, dans un communiqué, ajoutant que « cet événement a également eu lieu le mois dernier au quartier général du commandement dans le secteur oriental de la FINUL avec le soutien du commandant des forces de maintien de la paix dans le secteur ouest de la FINUL, le général Enrico Fontana ». Ce dernier avait souligné l'importance « d'accroître les échanges et l'intégration entre les organisations humanitaires et la FINUL dans les efforts visant à soutenir les communautés déplacées et restantes dans le sud du Liban ». « Pour améliorer les services de base (gestion des déchets, eau, électricité, éducation), on constate une tendance à la hausse de la demande d’équipements de combat, d’aide humanitaire, de services médicaux et de médicaments », avait-il dit. Selon le communiqué, la réunion actuel ;le s'est conclue par "un engagement à poursuivre le dialogue et à améliorer l'échange d'expériences, afin d'assurer une plus grande efficacité dans la satisfaction des besoins de la communauté du sud du Liban à travers la mise en oelig;uvre des mécanismes de coordination existants dans la mesure du possible". La réunion, organisée au quartier général du secteur ouest de la FINUL, a réuni cinq agences des Nations Unies, le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaire (OCHA), le Haut-commissariat pour les réfugiés (HCR), le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le Programme alimentaire mondial (PAM), ainsi qu'un représentant du Forum humanitaire international des ONG libanaises et de onze organisations non gouvernementales internationales (le mouvement social, Oxfam, Handicap International, ACF, Norwegian Refugee Council, INTERSOS, DCA, World Vision, Premiere Urgence International, Save the Children, American East Refugee Aid), ainsi que trois organisations non gouvernementales nationales (Imam Musa al-Sadr, Fondations NUSANED et Najee) et le Comité international de la Croix-Rouge. Ils ont tous participé à l’ombre des échanges de tirs en cours depuis octobre 2023.   =========N.A.