Chaque jour qui passe, le régime algérien touche un nouveau fond. Le président Abdelmadjid Tebboune s’en est pris bassement à l’écrivain Boualem Sansal, qui croupit depuis plusieurs semaines dans les geôles pour des accusations farfelues. Après les zélateurs du pouvoir militaire et les médias aux ordres, qui distillent les attaques