Un cinéaste marocain se penche sur la période la plus noire de l’ancien règne, mais en rendant hommage à son père et aussi au cinéma. Le film, qui sort enfin en salles, mérite un triomphe. Pour son premier long métrage, Adil El Fadili, déjà remarqué pour un court devenu culte («Courte vie», 2010), qui a […]