À l’Assemblée nationale française, la présidence du groupe d’amitié France-Maroc fait l’objet d’une bataille partisane qui oppose le Rassemblement national, parti d’extrême droite, au président sortant, Karim Ben Cheikh. Les négociations sont telles que le bureau de l’hémicycle n’a toujours pas été en mesure de rendre une décision finale. La France traverse une période politique...