
Zakaria Boualem vous doit des excuses. Depuis plusieurs semaines, le bougre s’est un peu laissé aller. Sidéré par l’actualité mondiale, ravagé par l’économie nationale, il s’est laissé plonger dans une humeur lugubre, et il a multiplié, dans ces mêmes colonnes, les paragraphes tragiques sans le moindre scrupule. Ce faisant, il a négligé sa mission de...