
“Au Maroc, gouverner, c’est pleuvoir”, disait Lyautey, le premier Résident général. Et à en juger par les années 1994-1995, cette maxime n’a jamais paru aussi vraie. Le royaume avait apuré en partie, tant bien que mal, ses comptes en appliquant la recette drastique du FMI. Et patatrac ! Une sécheresse met à nu les tares...