Il y a 40 ans, l’écrivain et botaniste italien Umberto Pasti a succombé au charme de Tanger. Il y a plus d’une vingtaine n’années, il a acheté une maison en retrait de la ville, pour en faire un musée habitable, où se superposent œuvres et objets de collection. Dans Rohuna, son jardin botanique, il a pu sauvegarder des variétés de la flore locale. Au carrefour de la Méditerranée et de l’Andalousie, cette cité l’a inspiré aussi pour son roman, «Arabesco».