Le Conseil des mosquées du Rhône a appelé, dimanche, à une intervention du président français Emmanuel Macron, pour une «solution équitable» à même de sauver le groupe scolaire musulman privé Al-Kindi. Incluant primaire, collège et lycée, il est le dernier à être en contrat avec l’Etat, avant le récent retrait de ce partenariat. La structure cultuelle dénonce en effet une décision «arbitraire» et un «deux poids, deux mesures», au vu du laxisme dans le traitement consacré à d’autres établissements religieux comme Stanislas à Paris.