Une nouvelle étude parue dans la revue Nature met en évidence la manière dont les interactions entre zones rurales et urbaines et l’amélioration des connexions avec les villes transforment l’agriculture oasienne des montagnes du Haut Atlas au Maroc. Les anciens agroécosystèmes sont en déclin, avec le manque d’irrigation et de main-d’œuvre, de transferts de fonds urbains et du tourisme, menaçant la biodiversité et le patrimoine culturel.