De 1952 à 1968, un monastère dans les hauteurs d’Azrou recueillit en son sein des enfants orphelins, issus de milieux pauvres ou d’autres dans le cadre de camps d’estivage. Tous bénéficièrent d’une qualité d’éducation qui marqua à jamais les parcours de leur vie. Le lieu ferma, mais sa mémoire reste vivante.