Dans une mobilisation inédite sous la législature actuelle, au mois quatre centrales syndicales et un front de neuf organisations sectorielles (éducation, santé, agriculture, industrie...) mènent une grève générale au niveau national, ces 5 et 6 février. Mohamed Hatati, membre du bureau exécutif de la Confédération démocratique du travail (CDT), analyse auprès de Yabiladi les raisons de la colère, au lendemain même du premier votre d’un projet de loi organique sur le droit de grève.