Ordonné par le parquet de Marrakech après l’accouchement d’une mineure en handicap mental, un test ADN a établi le lien entre le nouveau-né et l’un des trois mis en cause, poursuivis pour viol répétés sur l’adolescente de 13 ans. A l’issue de l’audience de ce mercredi à la chambre criminelle de première instance près la Cour d’appel de la ville, les juges vont délibérer. L’ONG demande que cette preuve scientifique à charge donne lieu à une décision exemplaire.