Le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, dit approuver «entièrement» la décision de la préfète, qui veut mettre fin au contrat de l’État avec le lycée musulman privé Al-Kindi. «D’ailleurs, le juge de référé lui a donné raison, il y a quelques jours», a-t-il déclaré à France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, vendredi, lors d’une visite dans le Rhône. «Ce qui propage le séparatisme, c’est l’islamisme. C’est-à-dire l’utilisation d’une religion à des fins idéologiques et politiciennes. Il s’avère que ce lycée propageait cette idéologie, faisait la propagande pour la charia, pour le jihad», a ajouté le ministre.