Les JCC étaient conçus comme un espace d’échange entre les cinémas africains et arabes, un projet décolonial, solidaire et militant. Mais l’approche originelle et le regard critique ont été détournés. Et la dépolitisation est confortée par les choix artistiques et institutionnels, comme celui de nommer Férid Boughedir à la tête de cette édition.