Le film “Là d’où l’on vient” de Meryam Joobeur évoque les “revenants” tunisiens de Daech à travers une histoire intimiste. Plutôt que de s’attarder sur les dimensions politico-religieuses, la réalisatrice examine les séquelles psychologiques de la violence. Une thématique universelle, comme elle l’a confié à Nawaat. Le résultat est un drame aux allures de thriller psychologique.