C’est un symbole des années algériennes du chef de l’extrême droite française, mort le 7 janvier : le poignard des Jeunesses hitlériennes qu’il utilisait lors de la bataille d’Alger. L’arme a connu un itinéraire compliqué, jusqu’à être utilisée comme pièce à conviction afin de démontrer que son porteur s’était rendu coupable d’actes de torture. Un objet sulfureux, qui est aujourd’hui retourné à Alger.