Entre 1915 et 1918, des milliers de soldats africains, prisonniers de guerre en Allemagne, sont devenus des objets d’étude pour les chercheurs, qui ont réalisé des enregistrements sonores. Un siècle plus tard, conscients de leurs erreurs, les Allemands remettent une partie de ces archives à la phonothèque de Sidi Bou Saïd.