Par Latifa Lakhdhar - Quand Baccar Gherib m’a demandé si j’étais partante pour présenter son dernier livre, j’ai répondu positivement et sans hésitation. Pour deux raisons:
D’abord pour l’intérêt que présente son travail, un travail dans lequel on trouve toujours des idées stimulantes, éclairantes, et surtout un travail qui se distingue par un souffle fort et franc, celui de l’intellectuel organique qui ne perd jamais de vue sa motivation essentielle.
La deuxième raison concerne le titre du livre qui, à l’annonce de sa parution, a un peu intrigué et étonné l’historienne que je suis! Peut-on comparer 1956 à 2011, sachant que Clio, Muse de l’histoire, ...