
Même les fins connaisseurs de Tozeur en seront agréablement surpris. Loin des lieux communs, des personnages, des ambiances, des coutumes, des mets et tant de secrets jalousement gardés émergent en toute douceur. Dans «Tozeur, chroniques d’une ville des sables», Alya Hamza révèle en une cinquantaine de récits en murmures et pleins d’arômes l’inédit, le poignant et «l’irréel si attachant ». A « la beauté, la drôlerie et la concision de son verbe», comme l’écrira en préface Olivier Poivre d’Arvor, elle déroulera son escapade au gré de magnifiques dessins de Feryel Lakhdhar. «Feryel, écrit-elle en la remerciant, a tout de suite accepté de me suivre sous les ...