En Côte d'Ivoire, la plus grande économie de l'Afrique francophone, un plat traditionnel appelé attiéké est plus qu'un simple repas. C'est une bouée de sauvetage contre la pauvreté. Fait à partir de manioc fermenté, cet aliment de base est devenu un patrimoine culturel, grâce à l'UNESCO. La production d'attiéké est une industrie de plusieurs millions de dollars. Elle génère des revenus pour des milliers de femmes en Côte d'Ivoire. Mais leurs moyens de subsistance sont menacés par la réticence à adopter la technologie et les concurrents...