Les électeurs jordaniens étaient appelés à voter mardi pour élire un nouveau parlement, dans un contexte économique morose et la guerre en cours à Gaza. Le scrutin ne devrait pas bouleverser l'échiquier politique dans le royaume où, selon la Constitution, le roi garde la haute main sur les dossiers stratégiques. Selon la commission électorale indépendante, la participation a été de 32 %.