Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol, accusé d'"insurrection" pour avoir tenté d'imposer la loi martiale en décembre, voulait empêcher une "dictature législative", a soutenu sa défense lors de la première audience jeudi de son procès au pénal. Le décryptage de Chloé Borgnon, correspondante France 24 à Séoul, en Corée du Sud