Ils ne sont pas des «sauvages, mais différents», dira-t-il en parlant des migrants à qui l’on attribue les agressions sexuelles qui se sont déroulées à Cologne en 2016. Sommes-nous singulièrement et exclusivement les seuls désaxés qui germent sur ces territoires hostiles où la femme est constamment en danger, ces «autres qui viennent de ce vaste univers arabo-musulman douloureux et affreux, témoin de la misère sexuelle et du rapport malade à la femme, au corps et au désir ?»