Un peu en retard par rapport à celles qui l’ont précédée, en raison du changement de gouvernement annoncé mardi dernier, la cérémonie d’ouverture de l’année judiciaire (2024-2025) s’est déroulée, hier, au siège de la Cour suprême à Alger, en présence du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, des membres du corps de la magistrature civile et militaire, ceux de l’Exécutif, mais aussi de hauts fonctionnaires et de cadres supérieurs de l’Etat. D’une trentaine de minutes, le discours du chef de l’Etat a fait ressortir deux messages essentiels.