Quelques-uns parmi les vieux habitants de la ville de Bougaâ, au nord de Sétif, encore en vie, n’ont pas oublié la grande rafle du 6 mars 1958 et l’ignoble tuerie perpétrée par des soldats français quelques jours plus tard, soit le 11 mars, sur le pont de Boufarroudj, une localité située à quelques kilomètres de Bougaâ.