Les récentes élections législatives et présidentielle ont démontré l’état de faiblesse de l’opposition tunisienne. Les Tunisiens résidant à l’étranger, près de deux millions, sont souvent critiques à l’égard du pouvoir de Kaïs Saïed. Parmi eux, d’anciens élus et militants qui ont pris la route de l’exil et continuent à essayer de faire vivre un discours alternatif à celui du pouvoir en place.