Selon le journal, le vice-ministre norvégien des Affaires étrangères, Andreas Motzfeldt Kravik, a tenu des consultations préliminaires à l'ONU à New York pour discuter d'un projet de résolution à soumettre à l'Assemblée générale de l'ONU qui demanderait un avis consultatif du tribunal de l'ONU visant à "protéger l'agence humanitaire et à lui permettre de continuer à fonctionner à Ghaza".
Cette mesure, qui sera soumise au vote le mois prochain, "bénéficie du large soutien de l'agence des Nations Unies et d'un nombre croissant d'Etats arabes", d'après le média.
Le Premier ministre norvégien, Jonas Gahr Store, cité dans l'article de The Guardian, a déclaré que "la communauté internationale ne peut accepter que l’ONU, les organisations humanitaires internationales et les Etats continuent de faire face à des obstacles systématiques lorsqu’ils travaillent en Palestine et fournissent une aide humanitaire aux Palestiniens sous occupation".
"Nous demandons donc à la Cour internationale de justice de rendre un avis consultatif sur les obligations (de l'entité sioniste) de faciliter l’aide humanitaire à la population palestinienne, délivrée par les organisations internationales, dont l’ONU, et les Etats".