Moins de deux semaines avant la fin de son mandat, Wennesland a déclaré dans une interview à ONU info que plus d’un an après le début de l'agression sioniste contre la bande de Ghaza, "nous sommes à un point où

la diplomatie a échoué dans une situation où la géopolitique est extrêmement difficile".

Wennesland a souligné à ce proos que la guerre à Ghaza représente "le plus grand test de résistance" auquel les Nations Unies ont été exposées dans le dossier du Moyen-Orient.

L'émissaire de l'ONU a souligné la nécessité d'un cessez-le-feu à Ghaza et l’accès des humanitaires aux populations sur le terrain.

 Il a estimé en outre que "la paix est toujours possible et que la solution à deux Etats, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, reste viable malgré les tentatives visant à la saper".

Il a également appelé la communauté internationale et les partenaires régionaux à "travailler ensemble pour établir un cadre et tracer la voie à suivre", affirmant que la persistance de la situation actuelle "menace la stabilité de la région et aura des répercussions sur diverses parties du monde".