Dans un communiqué repris par l'agence de presse Wafa, la diplomatie palestinienne "a souligné l'importance de ces résolutions pour la préservation des droits du peuple palestinien dans tous les domaines de travail de l'UNESCO, en particulier dans le contexte des crimes commis par l'entité sioniste contre les journalistes, en particulier dans la bande de Ghaza, depuis le début de son agression génocidaire le 7 octobre 2023, dans le mépris total du droit international, des dispositions de l'UNESCO, de l'ordonnance de la Cour Internationale de Justice(CIJ) et de l'Assemblée générale de l'ONU insistant sur la fin de l'agression sioniste.
Le ministère a expliqué que "la résolution met en lumière le rôle important des journalistes et des médias dans la fourniture d'informations précises et indépendantes au public, et la nécessité de protéger leurs droits et leur sécurité tout en faisant leur travail dans le contexte de l'agression (sioniste) actuelle".
Et d'ajouter : "l'importance de la résolution réside dans l'exhortation de toutes les parties concernées à respecter les droits et la sécurité des journalistes dans les zones de conflit, l'affirmation de la responsabilité de l'UNESCO de protéger les journalistes, la condamnation de tout ciblage de ceux-ci, comme le prévoit la Déclaration de l'UNESCO sur la protection des journalistes adoptée en 1997".
Selon le ministère, la résolution en question condamne l'augmentation continue du nombre de journalistes tombés en martyrs dans la bande de Ghaza depuis le début de l'agression sioniste sur l'enclave palestinienne et demande au directeur général de l'UNESCO de faire tout son possible pour répondre aux besoins urgents des journalistes à Ghaza le plus rapidement possible en mettant en œuvre les mesures nécessaires pour les protéger et les soutenir.