Cette décision intervient dans un contexte marqué par la violation par l'entité sioniste de l'accord de cessez-le-feu, entré en vigueur le 19 janvier, et dont la première phase a expiré samedi, souligne Wafa.
Le mouvement de résistance palestinien Hamas a vivement dénoncé cette décision comme un "chantage mesquin, un crime de guerre et une violation flagrante de l'accord de cessez-le-feu".
Il a notamment appelé "les médiateurs et la communauté internationale (à) faire pression sur l'entité sioniste pour mettre un terme à ses mesures punitives et immorales contre plus de deux millions de personnes dans la bande de Ghaza".