Dans un communiqué signé par son président, M. Brahim Boughali, président de l’Assemblée populaire nationale (APN), l'UIPA a précisé que le rapport avait documenté des violations graves des droits des civils palestiniens, ainsi que la diffusion par l'occupation de ces pratiques sur les réseaux sociaux, en vue d'humilier et d'intimider les Palestiniens et de les amener de force à quitter leurs territoires.
L'UIPA a affirmé que la teneur du rapport "exige une action internationale urgente pour mettre fin à la politique d'impunité qui a encouragé l'occupation à persister dans ses crimes", ajoutant que le rapport "a clairement évoqué la passivité internationale systématique face aux violations graves subies par le peuple palestinien".
Dans ce cadre, l'Union a appelé la communauté internationale à "assumer ses responsabilités juridique et morale, à prendre des mesures immédiates pour soutenir les droits du peuple palestinien à l'autodétermination, conformément aux principes du droit international, à agir sans délai pour mettre fin à l'occupation sioniste, et à traduire en justice les dirigeants de l'occupation en tant que criminels de guerre, ainsi qu'à lever le blocus inique sur la bande de Ghaza afin de mettre fin à la souffrance humaine endurée par le peuple palestinien".