Les conférenciers qui représentent plus de 35 universités nationales et étrangères ont mis en lumière " la grande importance de la filière du génie électrique et des systèmes de contrôle " à travers de multiples exemples de ses applications technologiques modernes dont le monde d'aujourd'hui ne peut plus se passer.
Dans son intervention sur " les énergies renouvelables dans l'agriculture saharienne ", Abdeldjalil Dahbi du Centre de développement des énergies renouvelables d'Alger a présenté les divers projets du centre sur l'exploitation des diverses nouvelles technologies en agriculture saharienne.
Abdennour Lounis de l'Université de Paris-Saclay (France), a mis en exergue le rôle des accélérateurs de particules dans la progression des recherches médicales et technologiques, notamment dans le traitement des tumeurs par la technique appelée " protonthérapie" qui, a-t-il noté, réduit les éventuels dommages aux tissus proches de la tumeur améliorant ainsi la qualité de vie du malade.
De son côté, le professeur Massimo Morichi de l'Université de Milan (Italie) a passé en revue, dans son intervention par visio-conférence, " les techniques avancées dans le domaine du contrôle et de l'automatisation " citant plusieurs innovations nouvelles touchant à divers aspects de la vie de l'homme.
Parallèlement, des ateliers ont été organisés au profit des étudiants chercheurs dans les spécialités "du génie de contrôle et systèmes intégrés ", " les nouvelles technologies ", " le diagnostic des pannes et leur contrôle ", " les logarithmes non conventionnels dans le génie de contrôle ", "les signes et les communications " et " les nanotechnologies ".
Cette rencontre qui se poursuivra jusqu'à jeudi verra la présentation de 212 communications sur les six axes du séminaire par des chercheurs d'universités algériennes et étrangères, a indiqué le président du séminaire Pr. Soufiane Boudhene de la Faculté des sciences et technologies de l'université de Khenchela.