La cour d'appel de Tanger a acquitté vendredi une femme condamnée en première instance à deux mois de prison avec sursis pour avoir embrassé son compagnon, estimant qu'un baiser ne constitue pas un acte de débauche. L'homme, lui, avait écopé de trois mois de prison avec sursis.
La cour d'appel vient de casser cette décision, soutenant qu'un baiser n'est pas constitutif d'un délit de débauche. « La décision rendue en appel a remis les choses à leur place et s'aligne sur la jurisprudence et (…)