Dès le début du protectorat, en 1912, la France se rend compte très vite qu’au Maroc «gouverner, c’est pleuvoir». C’était pour souligner l’importance vitale des précipitations dans un pays semi-aride comme le nôtre. Après l’indépendance, Hassan II ira plus loin en disant qu’au Maroc, pleuvoir ce n’est pas seulement une question de gouverner, mais d’exister […]