Le retour au pouvoir de Donald Trump préoccupe le Polisario. Le Front redoute que le 47e président des États-Unis ne procède à l’ouverture d’un consulat à Dakhla. En témoignent les déclarations de son représentant en Espagne dans la presse ibérique. «Nous souhaitons que la prochaine administration américaine ne franchisse pas ce cap, et si elle le fait, ce serait uniquement pour aider le Maroc dans sa tentative de prouver qu’il a une souveraineté sur le territoire, reconnue par plusieurs pays», a affirmé Abdellah Arabi.