Clôturant le riche programme des Conversations au 21e Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024), ce samedi, le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako revient auprès de Yabiladi sur son œuvre humaniste et engagée, qui a évolué au fur et à mesure des changements sociopolitiques dans son Afrique natale. Cette dynamique, qui façonne également les liens entre le nord et le sud, devient un objet cinématographique, pour un créateur qui oriente désormais sa caméra vers ce qu’il appelle «le monde nouveau», dans son nouveau long-métrage «Black Tea».