"Démission", "comptes à rendre": le président sud-coréen Yoon Suk Yeol est mis dos au mur mercredi 4 décembre par l'opposition comme par son propre parti après avoir tenté mardi d'imposer la loi martiale, une mesure qu'il a été obligé d'abroger sous la pression. Les précisions de Chloé Borgnon, correspondante de France 24 en Corée du Sud.